
Considérons-nous l'inclusivité comme l'une de nos valeurs fondamentales ?
Photo de Matt Seymour sur Unsplash
Photo de SiimLukka sur Unsplash
Si après le COVID-19, sommes-nous vraiment sérieux au sujet de la création d'une nouvelle normalité véritablement inclusive et diversifiée ?
Photo de SiimLukka sur Unsplash
Un exemple de mesures à courte vue dans un domaine différent est que le mouvement syndical au Royaume-Uni, au moins, croyait qu'il soutenait la durabilité en approuvant la construction de nouvelles centrales nucléaires. En partant du principe que c'était une énergie décarbonée qui créait des emplois. Mais ces emplois ne sont en grand nombre qu'en phase de construction ; alors quel est le coût pour la société en allocations de chômage par la suite ?… Durable je ne pense pas.
Ou copions-nous une précédente initiative du gouvernement britannique d'élargir les autoroutes (ayant moi-même participé à l'aménagement paysagers de certaines de ces autoroutes avec l'idée en tête il y a 30 ou 40 ans que ce n'était pas un aménagement transitoire, ce qui s'est depuis avéré faux) juste pour la création d'emplois à court terme ? Le tout sans tenir compte des implications à long terme des infrastructures de transport.

Alors que nous progressons vers une société plus empathique, il pourrait être émouvant d'observer les résultats de la recherche dans le rapport 2016 de DDI (Development Dimensions International) "High Resolution Leadership", dans lequel l'empathie arrive en tête de liste en tant que moteur essentiel de la performance globale. Il a été observé que "seuls 40 % des dirigeants de première ligne sont compétents ou forts en empathie" et que "les dirigeants européens sont naturellement moins empathiques et sont plus fermés quant à la création de réseaux collaboratifs et diversifiés, les équipes restant plutôt isolées les unes des autres.
Photo de Barthélémy de Mazenod sur Unsplash
En me référant à mes observations antérieures sur le patron et l'opprimé ainsi que sur un secteur de sauvetage pour animaux de compagnie inclusif et diversifié, nous serions avisés d'observer différents exemples de relations symbiotiques.
• Mutualisme : les symbiotes profitent les uns des autres
• Commensalisme : un symbiote profite sans nuire à l'autre
• Parasitisme : une espèce prospère en causant des dommages à l'autre
• Aménalisme : compétition, une espèce sort gagnante
• Antibiose : un organisme tué par la sécrétion chimique d'un autre
• Synnécrose : l'interaction est préjudiciable aux deux organismes.
J'espère que cet article stimulera la conversation en cours sur l'inclusivité et la diversité et, ce faisant, donnera l'espoir aux perturbateurs que nous n'avons pas à nous adapter à un paradigme préconçu pour pouvoir participer de manière inclusive.
Laisser un commentaire